Les gens pierre,
La pierre mêle, délivrant, sa posture rocheuse
À la houle fracassante des eaux ravageuses !
En son sein, bien blottie, pour y prendre patience,
Elle attend, avertie, sa belle mer plaisance.
Sur les cimes vêtues de leurs capes brillantes,
Les chamois bien têtus aux écueils errants
Couchent l’alpage d’une tranche dégoûtante
Dont le roc revêtu fait un lac plaisant.
Et Gaia en son ventre berce les gemmes savantes
Des enfants dépourvus d’honorables parents.
Ainsi va le génie d’une bonté épatante
Des gens pierre qui rôdent aux chemins insouciants.
Madame Maud
La pierre mêle, délivrant, sa posture rocheuse
À la houle fracassante des eaux ravageuses !
En son sein, bien blottie, pour y prendre patience,
Elle attend, avertie, sa belle mer plaisance.
Sur les cimes vêtues de leurs capes brillantes,
Les chamois bien têtus aux écueils errants
Couchent l’alpage d’une tranche dégoûtante
Dont le roc revêtu fait un lac plaisant.
Et Gaia en son ventre berce les gemmes savantes
Des enfants dépourvus d’honorables parents.
Ainsi va le génie d’une bonté épatante
Des gens pierre qui rôdent aux chemins insouciants.
Madame Maud